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Hymne à la couche d’oignon

Hymne à la couche d’oignon

À la suite de la republication de cette photo sur les réseaux sociaux, quelqu’un m’a demandé quel était le travail sur la couche d’oignon. La réponse m’a parue importante, mais difficile à résumer en 3 mots. Voici donc ma réflexion sur l’oignon.
Mettez vos lunettes, car oui, cela peut faire pleurer … en tout cas le travail avec l’oignon engendre souvent des larmes libératrices, voir salvatrices.

Commençons par définir ce qu’est cette couche d’oignon

Voici ma proposition de l’analogie entre l’oignon et le cheminement personnel.

 

Se mettre enquête ( ou en quête)

Lorsque nous nous mettons à chercher un sens à nos souffrances et nos limitations, nous initions un chemin vers un état d’être libéré et authentique. Cet état porte un nom qui est souvent réduit à une pratique physique, c’est l’état de yoga ou état d’union.

Contrairement à ce que prône notre société de croissance, pour atteindre cet état il ne s’agit pas d’acquérir, de se développer, mais plutôt de libérer, de relâcher, de se débarrasser, de faire de la place. J’aime bien de le terme d‘involution (une forme d’évolution vers notre intériorité). 

Se mêler de son oignon

Commençons par définir ce qu’est donc cette couche d’oignon.

Et là, je ne suis pas certaine de la justesse des mots car il faut comprendre que ce processus se fait partiellement tout seul. Prenez ce qui résonne pour vous. Dans mes accompagnements, je suis fascinée de voir que ce sont les aliments qui quittent le cheminant et non l’inverse. Les personnes sont surprises de constater qu’elles n’ont plus du tout envie de lait, de café, de fromages, etc. alors que cela leur semblait totalement impossible quelques semaines plutôt. Ce qui est vrai avec les aliments est aussi vrai pour les émotions, les relations, ses propres manières de réagir face à un événement, etc.

Un voyage indéfini, pas un sprint

La couche d’oignon, n’est pas celle de quelques millimètres entre deux couches rose (sur la photo d’illustration) qui se désolidarise facilement, mais c’est la très fine peau translucide. Cela donne une mesure plus juste du voyage à accomplir, comme des couches à enlever. La mesure de l’ampleur rend humble. 

Le but du voyage est de découvrir que chaque oignon est unique et renferme sa propre beauté.

Une rapide proposition d’itinéraire 

Je pourrais écrire un livre entier sur l’oignon, mais ce n’est pas l’idée ici.

Voici comment je résumerai ce que pourrait être un itinéraire.

  • Contempler, examiner son oignon (son parcours, ses héritages, ses blessures, etc.)
 
  • Se libérer des tensions
 
  • Percer le voile de l’illusion
 
  • Se débarrasser des protections enfermantes
 
  • Abandonner les héritages limitants
 
  • Auto-régulation et apaisement
 
  • Accéder à son état d’être authentique : yoga

Oignon et compassion

Comprendre que les personnes que nous croisons sont aussi (souvent) en chemin et qu’elles portent leurs tensions, leurs illusions, leurs systèmes de protection, etc. Ainsi, il est plus facile de les accueillir comme elles sont. Cela offre une meilleure compréhension de l’autre, de ses attitudes, surtout quand elles nous heurtent.
L’autre est un formidable miroir qui nous permet de mieux voir notre oignon, de ses meurtrissures, puis d’en prendre soin. Il révèle la part de nous qui a besoin d’être regardée. Cela ne veut pas dire non plus qu’il faut tout excuser, mais il faut saisir ces miroirs comme des opportunités de guérir ce qui a besoin de l’être. Puis, choisir ce que l’on fait de la situation vécue avec l’autre.

J’aime souvent ajouter qu’il faut comprendre que cet épluchage n’est pas linéaire, mais plutôt fractal. Et surtout que c’est un travail qui demande de la douceur, du non-jugement et de la bienveillance.

Ce n’est pas une lutte contre quelque chose de mauvais, c’est une joie de se découvrir. Ce n’est pas une course pour gagner l’arrivée, car il n’y a pas de ligne d’arrivée à franchir, ni de médaille. Il y a juste le fait de se sentir vivant. 

Beaucoup d’enseignements nous rappellent aussi qu’à un moment donné, la quête elle-même, nous quitte.

Et vous, c’est quoi votre définition de la couche d’oignon ?

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Je suis à votre écoute, si vous souhaitez être accompagné.e de manière apaisante sur ce chemin. Depuis 10 ans, j’accompagne de belles âmes sur le chemin du yoga, avec gratitude.

Gratitude attitude

Gratitude attitude

Ce premier de l’An, un ami m’a dressé sa longue liste de résolutions parmi lesquelles figurait l’écriture d’un objet de gratitude chaque jour.

Alors que je lui confirmais les bienfaits de cette pratique, il comprit par mes mots que cela appartenait à mon passé et voulu savoir pourquoi. La seule réponse pertinente à ce moment-là fut que j’avais fini, après plusieurs années, par avoir le sentiment de tourner en rond.

La perte du sens

En fait, c’est probablement une étape que nous traversons tous. Je l’ai souvent entendu aussi de mes élèves. Gratitude, mantra, ou méditation … à un moment donné, il se peut que l’habitude de la pratique la vide de son sens. C’est pourquoi certains maîtres spirituels comme Sadhguru prônent de ne jamais avoir d’habitude, mais de pratiquer chaque jour comme si c’était le premier avec ferveur et discipline.

Gratitude à profusion

En repensant à cet échange, je trouvais ma réponse peu satisfaisante et m’interrogeais sur la présence de la gratitude dans ma vie aujourd’hui. Je réalisais alors avec amusement que j’avais, certes, arrêté cette pratique d’écriture, mais que la gratitude était présente tout au long de mes journées, même les pires. Juste avant d’ouvrir les yeux après une profonde nuit de sommeil, en contemplant le lever du soleil, en me réjouissant de ma nourriture avant chaque repas, en recevant des nouvelles de mes amis, en me réjouissant des enseignements reçus ou encore en révisant ma journée le soir dans mon lit, etc.

Bien sûr, les règles du yoga traditionnel me soutiennent en toile de fond dans ma pratique infusée de la gratitude. Cela ne s’est sans doute pas fait en une nuit, c’est un chemin, comme je le rappelle souvent. 

Du mental vers le ressenti

L’invitation qui me semble capitale aujourd’hui, c’est de ne pas se contenter d’une pratique qui repose uniquement sur le mental. Trouver mentalement une raison d’être reconnaissant quand on habite en Suisse devrait être facile. Ce qui est plus ardu, c’est de s’exercer à ressentir cette gratitude dans notre corps. Que l’objet de la gratitude soit présent ou qu’il soit imaginaire.

Se laisser envahir de gratitude pourrait être une des pratiques les plus efficaces pour changer sa vie. Ressentir la gratitude dans notre corps permet à ce dernier de produire les hormones qui vont avec la gratitude (plutôt que celles qui vont avec le stress, la colère, la dévalorisation de soi, etc.). C’est notamment ce que démontre les nombreuses études du Dr Joe Dispenza. Ces études montrent aussi que la bonne vieille méthode Coué a ses limites: répéter « je suis heureux » mille fois, si dans notre corps on se sent misérable, n’ est malheureusement pas productif. 

Cultiver des cercles vertueux

Commencer la pratique de la gratitude est une excelle résolution en ce début d’année pour rétablir des cercles vertueux dans nos vies. Peu importe la forme que cela prend.
Ecrire un journal de gratitude peut être un très bon point de départ. Petit à petit, observer si cette gratitude est présente dans votre corps. Laisser la gratitude prendre sa place et autorisez-vous à la ressentir. Si vous ne trouvez pas d’objet de gratitude, utilisez votre imagination, créer votre monde imaginaire avec toutes les raisons d’être en gratitude.

En résumé, avoir de la gratitude, c’est bien, mais être en gratitude, c’est vraiment meilleur pour votre santé.

Relation corps mental esprit

La force de l’ayurveda est précisément de ne pas se contenter d’agir uniquement sur le corps, le mental ou l’émotionnel, mais de s’adresser au trois simultanément tout en tenant compte de notre environnement. N’hésitez pas à me contacter si vous souhaitez en savoir plus.

Merci d’avoir lu jusque-là 😉

Source image: 123rf.com

L’ Un certitude

L’ Un certitude

En ce début d’année, j’ai une pensée pour tous ceux qui sont :

  • dans la souffrance et la peur
  • habités par le doute
  • rongés par la colère
  • frustrés ou acides

Le mouvement salvateur

Dieu sait si je visite aussi parfois ces contrées. Mais je ne m’y arrête plus. Même à bout de force, je me relève et je repars vers d’autres horizons. Sans quête particulière. Ce serait bien trop exigeant à ce moment là. Inutile, aussi.

J’ai appris depuis le temps que je chemine qu’il suffit parfois de mettre un pied devant l’autre pour qu’apparaisse alors une voie nouvelle. Se remettre en marche, c’est aussi accéder à un autre niveau de silence, plus profond, plus vaste. Cette qualité de silence nous pénètre jusqu’à la moelle, nous remodèle, nous transforme.

L’instant présent nous sert de guide. Sans projection, ni plan sur la comète. Y revenir sans cesse. Le souffle est notre fil rouge. Inspire. Expire. Suivre son mouvement.

 

La vaine quête extérieure

Bien trop souvent, nous imaginions que c’est un élément extérieur qui pourra nous faire sortir de l’état de mal-être dans lequel nous sommes. Pourtant nos actes quotidiens tout comme nos pensées répétitives sont les facteurs déterminants de nos lendemains.

Je serai heureux quand …

Je pourrai être bien si …

Tout irait mieux si l’autre (mari, enfants, famille) était plus ceci ou moins cela, etc.

 

Faire la paix

Ce petit livre de Jean-Yves Leloup (petit par son format, mais grand par son message) m’accompagne depuis cet été. Il m’a remémoré pourquoi il est si important de faire la paix en soi. Sans paix, difficile de construire ou de s’épanouir dans son authenticité. Impossible de s’aimer et d’aimer l’autre. Faire la paix est un pas fondamental pas vers l’unité. Et cela commence en soi.

La beauté de l’impermanence

Un autre concept difficile à accepter dans notre société du divertissement est de trouver la beauté en tout y compris dans l’incertitude et l’impermanence. Se laisser toucher par les événements, mais ne pas les laisser nous emporter avec eux.

Observer ce qui nous touche, ce qui nous émeut et nous rend vulnérables. Du petit désagrément au grand fracas dans nos vies, soyons des observateurs conscients. Apprenons aussi à nous questionner sans filtre. Se laisser ébranler par la vie est sans doute une voie qui mène à une forme de pure authenticité.

Trouver sa force intérieure

Si nous nous laissons émouvoir jusqu’aux tripes et que nous prenons le temps de l’observer, une grande force s’offre alors à nous : la possibilité d’une profonde quiétude, une sérénité silencieuse. Tirons notre force de cette vulnérabilité. Lâchons encore quelques certitudes, soyons ébranlables.

Ne gardons qu’une seule certitude : celle de ne pas être seuls dans cette quête.

Nous ne sommes qu’UN

Belle année à tous !

Merci pour votre présence à mes côtés

La vie est une vallée de larmes. Mais elle est aussi une vallée de roses. C’est indiscernable. La vie est une fête et elle est un désastre.
Jean d’Ormesson

 

10 ans de transmission de yoga classique : merci

10 ans de transmission de yoga classique : merci

Un souvenir sur Facebook me rappelait la semaine dernière que je passais mon diplôme d’enseignante de yoga il y a tout juste dix ans. L’occasion de faire le point sur ce que représente ces dix années d’enseignement de yoga classique, de revenir sur le chemin parcouru, puis de vous parler des prochaines étapes.

 

De la posture corporelle au yoga du coeur

J’avais alors choisi l’image d’une femme dans la posture du chameau sous l’eau pour illustrer mon post. À l’époque, de cette posture, je ne percevais qu’une stimulation du nerf vague, une activation du système parasympathique et une liste de ses bienfaits physiques. Au fil du temps, j’ai vu beaucoup d’élèves très mal à l’aise voir parfois proche de la panique en tentant d’accéder à cette posture. Impossible de la maintenir plus de quelques secondes pour beaucoup.

Aujourd’hui, j’ai une lecture différente de cette asana. Il s’agit d’un abandon, d’une ouverture du cœur. Le cœur pointant vers le ciel, je suis tentée de dire : un véritable abandon au divin. Tant que nous résistons, que nous tentons de contrôler, cette posture est proche de l’insupportable. Mais si nous lâchons prise, alors la posture change notre assise, notre posture dans le monde.

Nous vivons depuis des siècles dans une société qui crucifie ceux qui ouvrent leur cœur (relire la Bible ;-)). Pardonner, comprendre exige un niveau d’empathie et de détachement que seul un profond amour inconditionnel permet d’atteindre. Voir qu’il s’agit d’une blessure ou d’une peur et qu’il n’y a souvent rien de vraiment personnel dans ces conflits. Surtout ne pas chercher à guérir l’autre de ses blessures, car elles lui appartiennent. Leur guérison aussi..

 

Ouverture du coeur et lâcher-prise

Nous sommes malades de cette absence d’ouverture du cœur. Cette impossibilité de nous laisser aller dans le lâcher-prise. L’impossibilité de faire face à nos vulnérabilités. Cette idée absurde de devoir contrôler. Les peurs et le stress gangrènent notre société, nous font ériger des murs et faire la guerre à nos voisins. C’est pourtant déconstruire ces murs qui nous permettrait de nous retrouver. Nous retrouver en nous-même, retrouver ceux qui nous entourent. Pour de vrai … cœur à cœur.

C’est pourquoi défaire tensions et résistances est au cœur de ma démarche depuis des années. Que chacun puisse se retrouver au cœur de soi. C’est cela, l’état de yoga : l’union … de soi et de ce qui nous entoure. Cela ne peut pas s’enseigner, puisque c’est un état intérieur. Nous sommes invités à vivre dans cet état en permanence.

Comme me le rappelait Alexandre Jolien récemment: Swami Prajnanpad disait :
« Aimer, c’est permettre à l’autre de relâcher ses tensions ».

Être soi sans crainte, offrir à l’autre de pouvoir faire pareil, ouvre de nouveaux espaces. Explorer les liens qui nous unissent et qui nous unissent au monde. Se rendre compte que nous ne sommes qu’un.

Pratiquer le yoga postural est une porte. Pour autant, il ne faut pas s’arrêter dans l’encadrement, il faut entrer dans l’espace et l’explorer.

La suite ?

Pour célébrer ces dix ans de transmission, je vous propose deux nouveautés pour explorer le Vivant ensemble.

Des ateliers dominicaux sous forme de brunch

Relaxation guidée, écoute bienveillante et partage lors d’un brunch canadien. Recevoir, offrir, s’exprimer, écouter en étant dans l’authenticité, sans jugement et dans un état d’accueil voilà les thèmes au cœur de ces rencontres. Cultiver le plaisir d’écouter et d’être écouté dans un espace dédié au respect.

Ces ateliers sont offerts à tous ceux qui ont suivi au moins deux sessions du yoga des saisons ou un programme Ayu’renaissance.
Pour les autres, une participation de CHF 50.- est demandée (prix de soutien de CHF 60.-).

Pré-requis : bienveillance et non-jugement

Lieu : Un amour de peau, Pully

Horaire : 10h-14h

Dates 2024 : 14 janvier, 4 février, 14 avril, 6 juin

Nombre de place limité. Les inscriptions sont validées à réception du paiement. Vous pouvez m’envoyer un message ou m’appeler pour réserver votre place (partout sans sur Whats app).

Un podcast : Essenzia, explorons le Vivant

Un épisode hebdomadaire pour cultiver notre lien au Vivant, en commençant par soi et par notre capacité à développer notre intériorité. Ceux qui me suivent savent que mes sujets de prédilection sont nombreux  : étudier notre lien au Vivant à travers la Beauté holistique ou la grande Beauté, notre lien aux mondes des plantes, des animaux ou des minéraux, etc. Nous aborderons les thèmes du yoga et de la spiritualité au sens les plus larges. Le podcast s’adresse à tous ceux qui sont curieux et animés par l’envie de faire plus de place au Vivant dans leur vie.

Nous tenterons de cultiver, de renforcer ce lien au Vivant avec différentes approches, des interviews et des approches pratiques de relaxation et méditations.

J’aurai le plaisir de vous présenter des personnes qui œuvrent pour le Vivant : Andrée Fauchère, Carole Tawena, Lydia Bosson seront mes premières invitées. Je vous en reparle très vite.

Gratitude infinie …

 … à mes maîtres, à mes élèves, à ma famille de sang comme à ma famille de cœur, à tous ceux qui cheminent

Ensemble, rendons le monde plus doux.

 

 

 

Jambes légères: prenez soin de votre lymphe

Jambes légères: prenez soin de votre lymphe

Le système lymphatique est crucial pour maintenir la santé globale et le bien-être en médecine ayurvédique. Avec son réseau de ganglions lymphatiques, de vaisseaux et d’organes, ce système joue un rôle vital dans la fonction immunitaire, la désintoxication et l’élimination des déchets. Voici les principales raisons pour lesquelles prendre soin du système lymphatique est important en Ayurveda:

Soutien immunitaire

Le système lymphatique agit comme un mécanisme de défense, aidant à protéger le corps contre les infections, les virus et les maladies. Il contribue à renforcer le système immunitaire.

Détoxification

 Le système lymphatique aide à éliminer les toxines, les déchets et les débris cellulaires du corps. Il aide à filtrer, à nettoyer la lymphe, assurant le bon fonctionnement des organes et des tissus.

Flux d’énergie

Selon l’Ayurveda, le système lymphatique est étroitement lié au flux d’énergie vitale ou « prana » dans les corps. Lorsque le système lymphatique est congestionné ou déséquilibré, il peut conduire à des blocages d’énergie ou de la stagnation.

Prévention

un système lymphatique compromis peut contribuer à divers problèmes de santé tels que la rétention d’eau, les jambes lourdes, l’inflammation voir in fine des conditions chroniques.

Soin holistique 

L’Ayurveda met l’accent sur une approche holistique de la guérison, en considérant le corps, le mental et l’esprit comme interconnectés. En s’attaquant au bon fonctionnement du système lymphatique, l’Ayurvéda vise à rétablir l’équilibre et l’harmonie à de multiples niveaux, en soutenant le bien-être général et la vitalité.

En conclusion, prendre soin régulièrement du système lymphatique – notamment avec les massages – est essentiel dans la médecine ayurvédique pour soutenir de manière préventive la fonction immunitaire, promouvoir la détoxification, améliorer le flux d’énergie, permettre au corps de se régénérer.

Par différents moyens comme la pratique du yoga, les massages ou les auto-massages, l’Ayurveda permet de maintenir la santé, contribue à régénérer le corps et retrouver un meilleur équilibre physique, mental, émotionnel.

 

Les bienfaits du massage

Evidemment les massage tout comme la pratique du yoga permettent de stimuler la lymphe.

En été, par forte chaleur, je vous propose un traitement particulièrement efficace sur les jambes lourdes.

Traitement jambes légères

Il s’agit d’un massage, puis d’un enveloppement d’argile rafraichissant. Les huiles sont également à base d’huiles essentielles qui rafraichissent le corps.

A noter que je vous propose un accompagnement avec des conseils pratiques à mettre en place pour vous aider à améliorer le bien-être de vos jambes. Comptez large quand vous réservez ce soin : environ 2 heures.

Cliquez sur l’image pour plus d’informations sur ce traitement.

Pour prendre rendez-vous, le numéro de téléphone est en haut de page ou par mail via la rubrique contact.